Plus que jamais, la pauvreté s’enracine dans le pays. 80% des Malagasy vivent en dessous du seuil de pauvreté. Les Malagasy ne restent pas les bras croisés. Ils cherchent de quoi vivre ou plutôt, « survivre » : que faire ? Comment faire ? D’où les petits boulots. En transport, à part les bus, les taxis, voici que naissent d’autres formes de transport : la moto, la bicyclette, le chariot, le tuc-tuc. Suite…