Antananarivo, notre capitale, évolue en infrastructure avec de somptueux bâtiments, de belles villas, de merveilleuses maisons. Antananarivo a plus de trois millions d’habitants. Ils vivent dans différentes maisons même très précaires : les bidonvilles. Antananarivo est divisée en ville haute, jonchée sur la colline et ville basse, étalée sur l’immense plaine de Betsimitatatra. Cette deuxième partie est formée de plusieurs quartiers où les maisons sont dans l’eau à chaque saison de pluie. Nombreuses sont les maisons qui sont des constructions illicites faites de matériels usagés : tôles, planches. Il y a même des maisons en carton, en sachet. …Suite…

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Être admis au collège Aina n’est pas pour tout élève. Le collège est réservé pour les enfants en difficulté : orphelins, parents divorcés, mères célibataires, parents alcooliques. Ces critères s’appliquent dès l’inscription en CP. Comme le collège se trouve dans un bas quartier de la capitale, beaucoup d’enfants sont dans ces critères. Le collège n’a qu’une seule classe de CP et, chaque année, elle est en sureffectif. C’est toujours dur de faire le choix des futurs élèves du CP : tant de parents sont dans de situations critiques. … Suite…

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De nouveau, une année scolaire se termine. Le collège Aina a clôturé l’année scolaire le 27 juin dernier avec la messe d’action de grâce, la distribution de prix pour les lauréats et la distribution des bulletins de notes pour les classes intermédiaires. Comme chaque année, tous les élèves de la classe de septième ont réussi leur premier examen officiel : le CEPE… Suite…

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La pauvreté est là et se fait sentir de plus en plus. Les Malagasy luttent pour s’en sortir trouvant plusieurs astuces. Certes, parfois, ils appliquent les solutions trouvées par leurs compatriotes constatant que cela marche…  Suite …

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Plus que jamais, la pauvreté s’enracine dans le pays. 80% des Malagasy vivent en dessous du seuil de pauvreté. Les Malagasy ne restent pas les bras croisés. Ils cherchent de quoi vivre ou plutôt, « survivre » : que faire ? Comment faire ? D’où les petits boulots. En transport, à part les bus, les taxis, voici que naissent d’autres formes de transport : la moto, la bicyclette, le chariot, le tuc-tuc. Suite…

Une série de mauvais temps, de cyclones est passée à travers tout le pays de fin décembre 2024 à mi-Mars 2025. Auparavant, Madagascar était à sec, maintenant, elle est plongée dans l’eau de tout côté. Les cyclones s’enchaînent s’accompagnant d’inondation. Il y a eu de la perte de vie humaine : des individus emportés par l’eau, ensevelis dans les maisons effondrées. Suite …

De nouveau, la saison cyclonique est là. CHIDO, DIKELEDI, ELVIS et, FAIDA ont visité successivement la grande île, déjà en proie à une sécheresse inadmissible. La terre a soif d’eau, les Malagasy ne savent plus où en trouver. Elle est devenue comme une denrée rare, s’achetant à un prix exorbitant. La saison de pluie devait commencer en Octobre. Elle n’a débuté que fin Décembre. Nos 80% des Malagasy, c’est-à-dire, nos paysans, ne savent plus que faire, comment faire. Suite …

En fin d’année c’était l’élection des maires de nos communes. […] Tout juste avant la propagande, les rues à nids de poules d’Antananarivo sont remises à neuf par l’Etat, les ordures sont bien ramassées et les marchands de rue ne sont plus appréhendés. La commune a même eu des négociations avec eux. Peu de temps avant l’élection communale, le président de la République lui-même a inauguré la distribution de vivres en ville … Suite …

Notre pays est plongé de plus en plus dans la pauvreté. Alors que des Etats voisins comme Comores et Maurice avancent. Des années auparavant, « Air Mauricius » empruntait des avions à Air Madagascar. Actuellement « Air Mauricius » progresse, « Air Madagascar » est en survie. Dans les années 70, 80, les Comoriens arrivent chez nous, fuyant leur pays, en famille. Le père s’embauche comme gardien, métier boudé par les Malagasy en ces temps-là, la mère vend des produits du cocotier : bonbon coco, huile de coco, au coin de la rue. Un des groupes réputés de chants malagasy en a même inventé une chanson très en vogue en ces temps, chantés, aux lèvres de tous les jeunes. 2023, 2024 sont des années où les Malagasy migrent clandestinement vers les îles Comores, incroyable ! Suite…

Tant de fois déjà, nous avons parlé de la coupure d’électricité, du délestage et de l’insuffisance en eau. Là, il nous faut encore s’y pencher. Ces temps derniers, les Tananariviens sont dans une situation gênante car deux éléments vitaux manquent : eau et lumière. Septembre – Octobre et même Novembre sont des mois d’étiage. La pluie tarde surtout à Antananarivo. La ville vit sous un épais brouillard causé par la pollution de l’air à l’extrême. Ce qui empêche la pluie d’arriver jusqu’en ville. La principale source d’Energie à Madagascar est de nature hydroélectrique. Comme l’eau manque, l’électricité l’est également.  Suite…

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Septembre est le mois du début d’une nouvelle année scolaire. Lycées, collèges et écoles s’ouvrent pour l’année scolaire 2024/2025. Plus que jamais, elle est particulière : la difficulté financière de la majorité des familles malagasy est trop évidente. Alors, comment scolariser les enfants ?  Suite…

La fin de l’année est une période cruciale pour votre association Vern à Travers le Monde, car plusieurs opérations destinées à recueillir des fonds sont organisées. Les bénéfices réalisés sont intégralement utilisés pour les actions humanitaires menées par notre association. Vous trouverez ici une des dernières réalisations de VTM.

Cette année encore, de nombreux bénévoles sont nécessaires pour assurer ces opérations, et VTM compte sur vous pour assurer un ou plusieurs créneaux de présence. N’hésitez pas à vous positionner aux dates et heures qui vous conviennent, et un grand merci à l’avance pour votre engagement !

• Marchés de Noël
• Paquets cadeaux centre Leclerc
• Vin chaud centre Leclerc

Il nous est normal de parler de nos 25 élèves de la classe de 3^e. Ils ont réussi à claquer la porte du collège Aina comme tout le monde leur a souhaité : « Allez-vous-en », notre récompense à tous est que vous partiez tous sans exception. La majorité est dans le collège depuis le CPI, habillée de blouse bleue, de chemise blanche. Ces habits sont devenus usés, petits car ils n’ont pas changé, renouvelés depuis plusieurs années scolaires. Contre vents et marées, ils passent en lycée. Malheureusement, quelques-uns d’entre eux n’ont pas pu entrer en lycée public, l’entrée étant un concours.

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Les maillots fournis par notre partenaire

Le CEPE est le passeport pour passer en classe secondaire. Cela se prépare tant d’années avant, probablement, dans chaque classe de primaire, surtout, en CMII ou la classe de 7^e. Nous partageons ici, quelques faits, surtout des difficultés durant l’année scolaire. C’est avec joie que nous informons nos bienfaiteurs que nous avons de bons résultats aux examens officiels CEPE et BEPC : 100%. Les 32 élèves du CMII ont tous réussis tout comme les 25 élèves de la classe de 3^e. Voici, déjà quelques années que le collège affiche ces succès. Suite …

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Le 26 Juin dernier, notre pays a fêté ses 64 ans du retour à l’indépendance. 64 ans avec la succession de 4 républiques en passant à des crises politiques cycliques pour ne pas citer que des évènements, comme le 13 Mai 1972, le 10 Aout 1991 et le 07 Février 2009 où des Malagasy sont morts en pleine manifestation croyant fort à une vie meilleure prônée par les leaders politiques. A chaque république, notre grande île plonge de plus en plus dans la pauvreté, la dette. Pourtant, Madagascar regorge de richesse avec sa biodiversité spéciale : plusieurs espèces animales et végétales sont endémiques favorisant l’écotourisme et ses ressources minières notamment le saphir, l’or.   … Suite …

Nous voici déjà arrivés à la fin de cette année scolaire 2023/2024 qui s’est passée rapidement mais pleine d’évènements : de joie, d’épreuve, de souffrance. Il y a eu de la joie partagée, par exemple, à Noël, durant la célébration suivie de la distribution de cadeaux offerts par les bienfaiteurs : un peu de gâterie. Pour exprimer leur joie, les enfants dansent spontanément. Suite…

Deux lycéennes ont souhaité réaliser un projet solidaire et se sont intéressé à notre association. Compte tenu de leur motivation et du contenu du projet, VTM a décidé de les parrainer en créant une cagnotte qui les aidera à réaliser leur projet.

Vous trouverez ici toutes les informations concernant ce projet. Vous pouvez également cliquer sur le bouton en haut à droite. N’hésitez pas à contribuer, même par une somme modique : c’est grâce à vous que ce projet se réalisera !

Le 29 Mars 2024, après le passage de Gamane au Nord du pays, un bilan provisoire est annoncé : 13 districts touchés, 18 décès. Des villes des 3 régions de Nord : SAVA, DIANA, Analanjorofo comme Vohémar, Antalaha, Sambava, Ambilobe sont sous l’eau. Seulement à Ambilobe, plus de 43.000 sinistrés sont recensés. Plusieurs villages sont submergés, isolés, plus de 1800 ha de rizières sous l’eau, du bétail est emporté par l’eau, des routes coupées, des ponts emportés. De nouveaux, des Malagasy grelottent de froid, et de faim, la plupart a tout perdu par la montée de l’eau, vit une rude épreuve

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La venue de la pluie est tant souhaitée aussi bien en ville qu’à la campagne. Les bornes fontaines avec les inévitables bidons jaunes (récipient pour récolter l’eau) de chaque quartier des villes du pays sont peu fonctionnelles sans la pluie. En saison sèche, ces bornes fontaines ne contiennent que peu d’eau si bien que l’eau des bornes est au compte-goutte. Les rivières sont presque vides d’eau comme les barrages hydroélectriques. L’eau de la JIRAMA n’est pas disponible qu’à des heures impossibles, exemple, de 22h à 3h du matin dans les foyers qui ont la chance d’avoir l’eau courante. Il faut veiller, remplir tous les récipients de la maison si on veut cuisiner, se laver. Pour les bornes fontaines, les bidons jaunes sont emmenés à proximité de la borne fontaine pour faire la queue car les bornes fontaines ne s’ouvriront que durant quelques heures. Après ces délais, elles seront fermées.

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